"Fiera, cual viviente..." 1927.
De la serie "Danza macabra".
GEORGES ROUAULT
A propósito de un poema de Charles Beaudelaire:
Danse macabre
Fière, autant qu'un vivant, de sa noble stature,
Avec son gros bouquet, son mouchoir et ses gants,
Elle a la nonchalance et la désinvolture
D'une coquette maigre aux airs extravagants.
Vit-on jamais au bal une taille plus mince?
Sa robe exagérée, en sa royale ampleur,
S'écroule abondamment sur un pied sec que pince
Un soulier pomponné, joli comme une fleur.
La ruche qui se joue au bord des clavicules,
Comme un ruisseau lascif qui se frotte au rocher,
Défend pudiquement des lazzi ridicules
Les funèbres appas qu'elle tient à cacher.
Ses yeux profonds sont faits de vide et de ténèbres,
Et son crâne, de fleurs artistement coiffé,
Oscille mollement sur ses frêles vertèbres.
Ô charme d'un néant follement attifé.
[...]
http://www.saltana.org/2/docar/0202.htm
La más colorista:
GEORGE GROSZ
De las impresionantes:
"Madonna" 1895
EDVARD MUNCH
Genial:
"Three studies for self-portrait" 1997
FRANCIS BACON
(No es ésta la de la exposición, pero es similar)
Música para acompañar todo esto:
"Kurtág 80"
György Kurtág
con la Hungarian National Philharmonic Orchestra
1 comentario:
que bonito!!!! jo yo tambien quiero ir a verla!!! que bien lo pasais!!! prometo subir pronto. un besazo. Barrachinameli.
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